Articles presse saison 2014-2015
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Marchin - Nivelles : 1 - 3
Marchin - Athus : 3 - 2
Bilan mitigé pour Marchin qui sort de ce week-end avec, enfin, une victoire à son actif, mais qui a aussi mordu la poussière contre les Nivellois. L'objectif était de retrouver un peu de plaisir à jouer dans le chef marchinois, ce qui a semblé être le cas, d'après le coach Stéphane Delrez. «Il y a du mieux et j'espère que le fait de gagner va mettre un peu de baume au cœur de certains. Cependant, j'estime qu'ils regardent encore trop dans l'assiette des autres», déclare le coach de Marchin.
Samedi, ses hommes sont tombés contre un effectif nivellois costaud, et ils se sont, aux dires de l'entraîneur, pas trop mal débrouillés, avant de livrer une bonne prestation contre Athus. «Cela a été un très bon match avec des choses encourageantes. Nous sommes mieux parvenus à équilibrer le jeu et j'ai vu des joueurs qui participaient plus, étaient davantage concernés. Mais ils commettent encore trop de fautes directes», souligne-t-il.
Ce prochain week-end, aucun match n'est prévu pour Marchin qui profitera de ce repos pour préparer les rencontres suivantes, dont celle du 1er mai. Une date à laquelle il disputera la finale de la coupe avec l'espoir de terminer la saison correctement.
Évolution du score contre Nivelles (set par set): 25-20,21-25,15-25 et 22,25.
Évolution du score contre Athus (set par set): 25-19,25-22,14-25,18-25 et 15-12.
MARCHIN: Quentin Albert, Nicolas Boileau, Julian Deflandre, Quentin Deflandre, Bastien Delvaux, Stéphane Fauville, Cédric Gouverneur, Jérôme Mathot, François Meurisse, Vincent Muccino, Nicolas Parmentier et Stéphane Delrez.
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Deux rencontres de championnat au programme pour Marchin. Objectif? Retrouver du plaisir à jouer au volley.
Marchin - Nivelles : Samedi - 20h30
Marchin - Athus : Dimanche - 18h
C'est un week-end chargé qui s'annonce pour l'équipe de Marchin. Au programme, deux matchs de championnat contre BW Nivelles B et le VC Athus. Deux adversaires de niveau différent, le VC Athus se situant actuellement en bas du classement général, mais contre lequel Marchin ne part pourtant pas confiant. Les Marchinois connaissent une baisse de régime ces dernières semaines avec 4 défaites consécutives au compteur. Ce soir et demain, le coach, Stéphane Delrez, espère mettre fin à cette série noire, mais l'objectif affiché est d'abord de retrouver du plaisir sur le terrain. «J'ai discuté avec mes joueurs à l'entraînement cette semaine. Nos séances se sont bien passées, mais ce n'était pas encore extraordinaire. J'espère que les matchs seront de meilleure facture et que je verrai des choses plus positives. Rien n'est perdu pour la 2e place, car nous avons seulement 3 points de retard. Tout dépendra de ce qu'il se passera ce week-end. Il est important, à présent, d'engranger de la confiance pour retrouver un niveau correct» déclare l'entraîneur qui affrontera donc Nivelles samedi soir. «Cela ne va pas être évident. Ils sont au coude à coude avec nous au classement et profiteront de la venue d'un jour qui a déjà presté en Ligue B. Il constituera un bon renfort pour nos adversaires. Ils n'auront rien à perdre contre nous» précise Stéphane Delrez avant de commenter la rencontre face à Athus. «Ils ne peuvent pas perdre et, par conséquent, il y aura beaucoup d'envie de leur côté. J'espère que cela ne fera pas la différence par rapport à nous et que l'envie que mes joueurs ont de gagner suffira également.»
Quant à savoir si l'enchaînement des deux rencontres pourrait poser problème et engranger de la fatigue, le coach Marchinois n'y voit aucun inconvénient et «que ça ne devrait pas poser de problème.» Les deux rencontres se joueront à domicile, un point fort pour Marchin qui devrait, une nouvelle fois, compter sur la présence de ses nombreux supporters fidèles au rendez-vous et qui ne manqueront pas de donner de la voix pour porter les fers de lance du VC Ribambelle.
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Les clubs du Brabant wallon sont désormais réunis en ASBL. Ils espèrent ainsi être représentés comme entité auprès de l'AIF.
Les clubs du Brabant wallon se sont réunis à Mont-Saint-Guibert pour confirmer leur intention de se regrouper en ASBL. Le club de Bousval était absent, tandis que celui de Villers-la-Ville était excusé. «Le principe est qu'une ASBL cadre gère le championnat commun entre les clubs de Bruxelles et du Brabant wallon, signale Pierre Vander Vorst, président de la nouvelle ASBL et de l'ASBL qui gère les championnats. Il existe une ASBL regroupant les clubs bruxellois. L'objectif en créant cette nouvelle ASBL pour les clubs du Brabant wallon, c'est de faire reconnaître les deux entités, Brabant wallon et Bruxelles, au sein de l'Association Interprovinciale Francophone, ainsi qu'auprès des pouvoirs subsidiants. Si une des entités a des activités propres et que cela génère des bénéfices, ceux-ci seront destinés aux jeunes. Jusqu'ici, l'AIF ne reconnaît qu'une entité, l'ASBL qui gère le championnat regroupant les clubs Brabançons et Bruxellois. Nous voulons faire changer les choses.»
Un protocole d'accord sera signé avec les représentants de l'ASBL Bruxelloise et de l'ASBL commune aux deux entités: «Nous devons nous mettre d'accord sur la manière dont les trois ASBL vont fonctionner.»
Le conseil d'administration est constitué de Pierre Vander Vorst (président), Francis Offermans (vice-président), Émile Lorge (secrétaire), Éric Bamps (trésorier), Éric Davaux, Fernand Marchal et Frédéric Schmitt (membres).
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L'UCL a placé trois des quatre équipes finalistes des sports collectifs sur la première marche du podium devant la KUL, Gand et Liège.
Les finales nationales de basket, hockey, volley, Water-polo, rugby et des doubles de tennis ont eu lieu mercredi au Blocry. Les champions francophones affrontaient les champions néerlandophones. L'UCL était représentée dans quatre disciplines: hockey féminin et masculin, volley masculin et basket féminin.
L'équipe féminine de basket placée sous la conduite de Candice Michel, ancienne joueuse de Namur, ouvrait le bal face à l'université de Gand: «Cette équipe a enchaîné les victoires jusqu'ici. Elle était invaincue avant d'entamer la finale. Contre Gand, elles tombaient sur un gros morceau», lançait Kevin Weber, membre du service des sports de l'UCL. Les Néolouvanistes avaient l'avantage du nombre. «Nos adversaires avaient un meilleur niveau dans les clubs. Nous étions douze, le double des Gantoises», signale Candice Michel. Les filles s'inclinaient cependant 60-71: «Il a manqué un peu de confiance et de maturité. Cela s'est joué sur rien. C'était jouable. Nous avons mené de six points pendant le match», analyse Kevin Weber.
Les hockeyeuses de l'UCL ont été plus heureuses. Elles ont gagné 11-0: «Elles avaient subi leur seule défaite de la saison face à Mons en qualification. Elles étaient donc très motivées. Sous la conduite de Clémentine Musch, la plus jeune coach championne de Belgique puisqu'elle n'avait pas dix-huit ans lorsqu'elle a repris l'équipe en main en octobre dernier, elles s'imposaient 11-0.»
Les hockeyeurs garçons n'ont joué. Anvers ne s'est pas présenté: «Cela fait six ans que notre équipe, entraînée par Charly Mineur, est championne nationale. Elle aurait préféré signé son septième succès sur le terrain.» La cerise sur le gâteau est venue des volleyeurs, équipe composée de joueurs de Guibertin, avec le Nivellois Gil Hofmans. Ils sont entraînés par Joachim Delie. Ils ont gagné 3-2 face à Gand (24-26, 25-17, 25-18, 26-28, 15-13). «C'est exceptionnel. C'est la première fois que nous gagnons la finale nationale en volley-ball. Notre équipe est invaincue. Elle avait déjà gagné contre la KUL, une première en cinq éditions.»
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Le BW Nivelles a réalisé une excellente opération ce week-end en s'imposant à Marchin. Les Aclots sont favoris pour la montée en N1.
Avant le week-end pascal, les Aclots occupaient la quatrième place au classement par points perdus, derrière Bruxelles Est B et Marchin. Ils savaient cependant qu'en cas de bon résultat à Marchin, ils pouvaient occuper la troisième place au classement. Or celle-ci est montante. Il y aura en effet deux montants francophones de nationale 2 en nationale 1. «Mais Bruxelles Est était en tête avec ses deux équipes. Une seule peut monter à l'étage supérieur. C'est ainsi que la troisième place devient montante d'office, si Bruxelles Est B reste deuxième», explique Nicolas Pourbaix, le coach de la nationale 2 de Nivelles.
Les résultats du week-end ont été supérieurs aux espérances de Nivelles. Ils ont gagné 1-3 à Marchin qui a perdu un point contre Athus lors de son deuxième match du week-end dernier. De plus, Bruxelles Est B a été battu à Walhain. Du coup, Nivelles est deuxième et montant direct. «Avant le week-end, nous avions réuni le comité pour voir ce que nous devions faire. Soit jouer le jeu au risque de monter en nationale 1, soit lever le pied pour poursuivre en nationale 2. Le comité a décidé que nous devions jouer notre chance. Nous avons joué un très bon match collectivement à Marchin. Gil Hofmans a remplacé Kevin Govaerts, il a fait un bon match mais c'est le groupe qui a gagné la rencontre», poursuit Nicolas Pourbaix.
Invaincus depuis le 7 février
Nivelles a maintenant toutes les chances d'accéder à l'échelon supérieur. Les Nivellois n'ont plus été battus depuis le 7 février, lors de leur visite chez le leader Bruxelles Est A. «Nous voulons maintenant conserver notre deuxième place. Parmi les candidats à celle-ci, nous ne devons pas écarter Esneux. Nous avons que trois points d'avance sur cette équipe.»
Nivelles a un calendrier favorable. «Nous devons jouer à Baudour le 11 avril et contre Athus chez nous le 25 avril. Cela fait trois ans que nous n'avons plus gagné contre Baudoux. À l'aller, Baudour était venu s'imposer chez nous avec une équipe incomplète. Nous devrons nous méfier de la visite d'Athus. Elle aura peut-être encore besoin d'un point pour se sauver, au détriment de Walhain, lors de la dernière journée de championnat», tempère Nicolas Pourbaix.
Nivelles sera rapidement fixé sur son sort.